Événements économiques et rapports d'entreprises - vendredi 31 octobre 2025 : sommet de l'APEC, PCE des États-Unis, IPC de la zone euro et rapports d'Exxon et Chevron.

/ /
Événements économiques et rapports d'entreprises - vendredi 31 octobre 2025
48

Aperçu détaillé des événements économiques et des rapports d'entreprise au 31 octobre 2025. Premier jour du sommet de l'APEC en Corée du Sud, publication du PMI chinois, estimation préliminaire de l'inflation CPI dans la zone euro, indice des prix PCE aux États-Unis, données sur le PIB du Canada et l'indice Chicago PMI, ainsi que les résultats financiers des plus grandes entreprises des États-Unis (ExxonMobil, Chevron, AbbVie, Colgate-Palmolive, etc.), d'Europe, d'Asie et de Russie.

Le dernier vendredi d'octobre s'annonce riche en événements pour les marchés mondiaux. En Asie, le sommet de l'APEC s'ouvre en Corée du Sud, où les dirigeants des pays de l'APAC discuteront de la coopération commerciale dans un contexte de risques géopolitiques persistants. Dans le même temps, tôt le matin, les investisseurs reçoivent des signaux frais en provenance de Chine : les indices PMI officiels reflètent un refroidissement continu du secteur manufacturier et la dynamique des services. En Europe, l'accent est mis sur l'estimation préliminaire de l'inflation CPI d'octobre, dont les résultats aideront à comprendre les prochaines étapes de la BCE après une série de resserrements. En Amérique du Nord, le principal indice d'inflation de la Réserve fédérale, l'indice des prix PCE, ainsi que des statistiques concernant l'activité économique aux États-Unis et au Canada seront publiés. Sur le front des entreprises, le pic de la saison des rapports trimestriels s'achève : ce jour-là, des géants de l'industrie pétrolière et gazière des États-Unis ainsi que des acteurs du secteur pharmaceutique, financier et industriel des indices S&P 500, Euro Stoxx 50, Nikkei 225 et MOEX rendront compte de leurs résultats. Ensemble, les données macroéconomiques sur l'inflation en ralentissement et les résultats des entreprises aideront les investisseurs de la CEI à définir les perspectives de marché, des perspectives monétaires aux idées sectorielles sur le marché des actions.

Calendrier macroéconomique (heure de Moscou)

  1. 04:30 — Chine : indices PMI officiels d'activité commerciale (Manufacturing, Non-Manufacturing, Composite PMI) d'octobre.
  2. 13:00 — Zone euro : inflation à la consommation (CPI, octobre, données préliminaires).
  3. 15:30 — États-Unis : indice des prix des dépenses de consommation (PCE Price Index) de septembre.
  4. 15:30 — Canada : produit intérieur brut (PIB) d'août (m/m).
  5. 16:45 — États-Unis : indice d'activité commerciale de Chicago (Chicago PMI) d'octobre.

Asie : PMI chinois et sommet de l'APEC en perspective

La session asiatique commence avec la publication des indicateurs clés de la Chine. Le Manufacturing PMI chinois reste en dessous du seuil de 50 points depuis sept mois consécutifs, signalant une poursuite de la contraction dans le secteur manufacturier. Une légère baisse du chiffre est attendue (environ 49,5 à 49,7), ce qui indique une demande intérieure et extérieure languissante pour les produits de l'industrie chinoise. L'indice PMI des services, quant à lui, oscille autour de la barre des 50, reflétant un ralentissement de la croissance dans les secteurs non manufacturiers – la hausse des services n'est plus aussi robuste qu'au début de l'année. Dans l'ensemble, le composite PMI est proche de la valeur neutre de 50, montrant l'absence d'un véritable élan dans l'économie chinoise. Ces données renforcent les attentes de mesures de stimulation supplémentaires de la part de Pékin et influencent le moral sur les marchés des matières premières (métaux, pétrole), sensibles à la demande en provenance de la Chine.

Un autre élément crucial pour les marchés asiatiques est le sommet de l'APEC, qui débute aujourd'hui à Gyeongju, en Corée du Sud. Au cours de cette première journée de rencontres, les dirigeants des 21 économies de l'APAC discuteront de la reprise du commerce régional et de la coopération en matière d'investissement. Une attention particulière sera portée aux négociations bilatérales potentielles entre les grandes puissances – en particulier à la rencontre entre les représentants des États-Unis et de la Chine – sur fond de tensions relationnelles et de tendances protectionnistes. Les investisseurs espèrent entendre des déclarations sur des mesures de soutien au libre-échange et à l'économie numérique. Tout signal positif provenant du sommet pourrait améliorer l'appétit pour le risque sur les marchés de la région Asie-Pacifique, tandis que l'absence de progrès ou de nouveaux désaccords commerciaux pourrait, au contraire, renforcer la volatilité et peser sur les devises des pays émergents.

Europe : l'inflation dans la zone euro continue de ralentir

Dans l'après-midi, l'attention se tourne vers l'Europe, où une estimation préliminaire de l'inflation à la consommation CPI de la zone euro pour octobre sera publiée. On s'attend à ce que l'inflation, tant générale que de base, continue de diminuer dans un contexte de baisse des coûts des énergies et d'affaiblissement de la demande des consommateurs. Selon les prévisions des économistes, la hausse des prix annuelle pourrait ralentir à des valeurs minimales atteintes au cours des dix-huit derniers mois. Si les données confirment une poursuite de la baisse (par exemple, si l'indice général CPI s'approche de 2 % en glissement annuel), cela renforcera les attentes selon lesquelles la BCE s'abstient de toute hausse de taux lors de prochaines réunions. Le ralentissement de l'inflation de base (hors énergie et alimentation) est particulièrement important pour le régulateur : cette tendance à la baisse indique un affaiblissement de la pression fondamentale sur les prix dans l'économie.

Pour les marchés européens, de telles nouvelles favorables sur l'inflation pourraient devenir un moteur de croissance. Une baisse de l'inflation soutient traditionnellement le marché obligataire (les rendements des obligations d'État de la zone euro pourraient diminuer) et améliore les perspectives pour les secteurs sensibles aux taux d'intérêt, tels que l'immobilier et le crédit automobile. En outre, des taux d'inflation modérés accroissent le pouvoir d'achat réel des ménages, ce qui est bénéfique pour les entreprises de vente au détail et de services. Les investisseurs surveilleront également l'évolution de l'inflation dans les grandes économies de la zone – en particulier en Allemagne et en France – afin d'évaluer le degré de synchronisation du ralentissement de la pression sur les prix dans toute la région. En revanche, si l'inflation ralentit plus fortement que prévu, des discussions sur d'éventuelles mesures de stimulation de la BCE pourraient surgir à plus long terme, bien que la rhétorique officielle du régulateur reste prudente pour l'instant.

États-Unis : l'indicateur PCE signale un moindre pression sur les prix

L'agenda macroéconomique américain se concentre sur l'inflation et l'activité économique. À 15h30, heure de Moscou, le rapport du département du Commerce américain sur les dépenses et les revenus sera publié, incluant l'indice des prix PCE de septembre. Cet indicateur – en particulier sa composante de base (Core PCE) – est considéré comme crucial pour la Réserve Fédérale dans l'évaluation des risques inflationnistes. Les prévisions indiquent un ralentissement supplémentaire de la croissance annuelle des prix PCE grâce à la baisse des coûts du logement et à la stabilisation des prix des services. Si les données confirment cette tendance (par exemple, une diminution du PCE de base vers les 2 % cibles en glissement annuel), les participants au marché renforcent leur opinion que la Fed fera une pause dans l'augmentation des taux ou pourrait même adopter une politique d'assouplissement l'année prochaine. Cela pourrait, à son tour, affaiblir les rendements des obligations d'État et le dollar, tout en soutenant le segment des actions à forte croissance sur le marché américain.

En plus des données sur l'inflation, les investisseurs analyseront les indicateurs d'activité économique. L'indice des directeurs d'achat Chicago PMI d'octobre, publié en fin de journée, permettra d'évaluer la situation de l'industrie dans le Midwest des États-Unis. Une légère hausse du chiffre est attendue après la chute à 40,6 points en septembre – les prévisions suggèrent que l'indice pourrait remonter vers 42-43. Bien que le chiffre demeure profondément en territoire de contraction (en dessous de 50 points), le simple fait d'un meilleur résultat signale un potentiel passage à un creux dans le cycle manufacturier régional. Cependant, cela fait maintenant 22 mois consécutifs que le Chicago PMI est en négatif, soulignant les difficultés persistantes dans le secteur manufacturier américain : une demande d'entreprise faible, des stocks élevés et une prudence des entreprises en raison des précédentes hausses de taux de la Fed. Pour avoir une vue d'ensemble, les investisseurs tiendront également compte des nouvelles données sur l'emploi et la consommation du rapport connexe (les revenus et les dépenses des Américains en septembre), ce qui aidera à calibrer les attentes avant la publication de mesures plus larges, telles que l'ISM et le rapport sur l'emploi la semaine prochaine.

Canada : la stagnation du PIB envoie un signal à la Banque du Canada

En même temps que les données américaines sur le PCE, des données économiques importantes du Canada seront publiées – le rapport mensuel sur le PIB d'août. Selon les premières estimations de l'agence statistique, l'économie canadienne n'a pratiquement pas crû à la fin de l'été (un changement attendu du PIB autour de 0,0 à 0,1 % m/m). Cette stagnation dans le secteur industriel et des matières premières du Canada reflète l'effet des taux d'intérêt élevés et l'affaiblissement de la demande extérieure, notamment en provenance des États-Unis et de la Chine. Si les données officielles confirment l'absence de croissance, cela marquera le troisième mois consécutif d'une dynamique proche de zéro, indiquant une activité économique en ralentissement. Pour la Banque du Canada, un tel signal constitue un argument supplémentaire en faveur du maintien du taux actuel inchangé : dans un contexte d'économie en ralentissement, le régulateur devrait hésiter à poursuivre le resserrement de la politique monétaire.

La réaction du marché au PIB canadien affectera principalement le cours du dollar canadien (CAD) et le marché obligataire local. Une faiblesse continue de l'économie pourrait entraîner une légère baisse de la valeur du CAD par rapport aux principales devises, compte tenu de la perspective d'une politique de la Banque du Canada plus souple. Dans le même temps, les actions canadiennes (en particulier dans les secteurs bancaire et immobilier) pourraient bénéficier des attentes de réductions de taux futures. Les investisseurs surveilleront également les données sectorielles fournies dans le rapport (extraction, transformation, services) pour déterminer quelles industries pèsent sur l'économie. Dans l'ensemble, la combinaison d'un PIB stagnant et d'une inflation en déclin en Amérique du Nord crée un environnement favorable pour les marchés obligataires et renforce la conviction que le pic des taux d'intérêt est déjà derrière nous.

Rapports des géants pétroliers : ExxonMobil et Chevron

Le point d'orgue de la publication des résultats d'entreprise ce vendredi sera constitué par les résultats des plus grandes entreprises pétrolières et gazières américaines – ExxonMobil et Chevron. Ces titans du secteur énergétique (appartenant à l'indice S&P 500) publieront leurs résultats financiers pour le troisième trimestre avant l'ouverture du marché américain. Les analystes s'attendent à une baisse des revenus et des profits en glissement annuel, en raison de prix inférieurs du pétrole et du gaz par rapport aux niveaux record de l'année dernière. Cependant, les investisseurs s'intéresseront particulièrement à la rentabilité de l'activité et aux plans de répartition du capital. Malgré la baisse des revenus, il est prévu qu'ExxonMobil et Chevron confirment le maintien de généreux dividendes et de programmes majeurs de rachat d'actions – un facteur important pour l'attrait de leurs actions auprès des investisseurs de long terme.

Les détails opérationnels seront également au centre des préoccupations du marché. ExxonMobil pourrait fournir de nouvelles informations sur ses grands projets pétroliers (y compris l'extraction de schiste dans le bassin de Perm et le développement de gisements en Guyane) et faire le point sur ses avancées dans le secteur pétrochimique. Les attentes portent sur des commentaires de Chevron relatifs à la production dans la région de Permian et aux performances du segment en aval (raffinage et distribution des produits pétroliers), où les marges pourraient s'être améliorées en raison de la hausse de la demande en carburant. Tout événement inattendu – tel qu'une meilleure performance que prévu des flux de trésorerie ou des changements dans les prévisions de dépenses d'investissement – pourrait entraîner des mouvements significatifs dans les prix des actions de ces entreprises et influencer l'ensemble du secteur énergétique du marché. De plus, les résultats d'Exxon et de Chevron serviront de baromètre pour l'industrie pétrolière et gazière mondiale : leurs rapports montreront dans quelle mesure le secteur s'adapte à la volatilité des prix des matières premières et à une économie plus rigoureuse en termes de dépenses.

D'autres rapports d'entreprise de la journée

En dehors du secteur pétrolier, le 31 octobre est riche en publications financières dans plusieurs autres secteurs à travers le monde. Aux États-Unis, plusieurs entreprises de l'indice S&P 500 et d'autres encore publieront leurs résultats :

  • AbbVie (ABBV) – géant pharmaceutique. Les investisseurs surveillent l'évolution des ventes de médicaments clés, en particulier de nouveaux traitements immunologiques qui compensent la baisse des revenus provenant de brevets arrivés à expiration. L'accent sera mis sur les prévisions de gains face à la concurrence dans le secteur des biotechnologies.
  • Aon plc (AON) – leader mondial en courtage d'assurance et gestion des risques. Les résultats de la société donneront un aperçu de l'état du marché de l'assurance : la croissance des revenus de commission et l'effet des taux d'intérêt élevés (via les revenus des investissements des réserves d'assurance) constitueront des indicateurs clés.
  • Colgate-Palmolive (CL) – entreprise FMCG majeure dans le secteur des biens de consommation. Ses chiffres trimestriels sur les ventes et les bénéfices montreront comment l'évolution des prix et l'amélioration des sentiments des consommateurs aux États-Unis et en Europe influencent la demande pour les biens de consommation courante. Les investisseurs évalueront également le niveau des marges : Colgate parvient-elle à maintenir sa rentabilité alors que les coûts des matières premières et de la logistique baissent ?
  • Linde plc (LIN) – la plus grande société de gaz industriels au monde (appartient aux indices S&P 500 et précédemment DAX 30). Le rapport de Linde devient un indicateur de l'activité industrielle mondiale : la demande provenant des secteurs de l'électronique, de la santé et de la chimie. Les indicateurs de synergie après la fusion avec Praxair et les prévisions de flux de trésorerie libre seront importants pour évaluer la solidité de l'entreprise.
  • Canadian National Railway (CNR) – opérateur ferroviaire au Canada et aux États-Unis. Les résultats financiers de cette société de transport reflètent les volumes de fret en Amérique du Nord, ce qui implique indirectement l'activité économique. Les investisseurs se pencheront sur l'évolution des transports de fret (ferroviaires de pétrole, de céréales, de biens de consommation) et l'efficacité des coûts, surtout dans un contexte de possibles mouvements sociaux ou de risques météorologiques.
  • Dominion Energy (D) – l'une des plus grandes entreprises de services publics américains. Son rapport permettra d'évaluer les tendances de la demande en électricité et en gaz, ainsi que l'impact des taux d'intérêt sur le secteur des services publics très endetté. Les points clés porteront sur les stratégies de réduction de l'endettement, les progrès des projets d'infrastructure et les commentaires de la direction sur la régulation tarifaire.

En Europe et en Asie, le 31 octobre est moins riche en résultats, car la plupart des publications ont eu lieu lors des jours précédents de la semaine. Néanmoins, les investisseurs continuent de digérer les résultats précédemment publiés par des entreprises telles que des banques européennes et des conglomérats industriels, ainsi que les résultats des exportateurs japonais. Sur le marché russe, la saison des rapports trimestriels touche à sa fin : des émetteurs majeurs sur le MOEX ont publié leurs bénéfices pour les neuf premiers mois ou présenteront des données au début novembre. Aucune publication d'entreprise marquante n'est attendue en Russie aujourd'hui, donc l'attention des investisseurs se concentre plutôt sur les signaux macroéconomiques – par exemple, les dernières données sur l'inflation d'octobre et les perspectives de politique de la Banque de Russie. Dans l'ensemble, l'ampleur de l'agenda des entreprises le 31 octobre – allant des entreprises technologiques américaines aux fabricants asiatiques – offre une vue d'ensemble de l'état de l'économie mondiale à la fin du trimestre.

Résultats de la journée : à quoi faire attention pour l'investisseur

  1. Inflation mondiale en déclin : aujourd'hui, les indicateurs clés des prix seront publiés – CPI en Europe et PCE aux États-Unis. Leur ralentissement confirme la tendance à l'affaiblissement de l'inflation, ce qui est important pour les prévisions sur les taux de la Fed et de la BCE. L'investisseur doit évaluer dans quelle mesure les données correspondent aux attentes : une inflation plus basse soutenirait la croissance des obligations et des actions, tandis qu'une flambée inattendue pourrait temporairement refroidir le marché.
  2. Signaux en provenance d'Asie : l'activité commerciale en Chine (PMI) et les nouvelles du sommet de l'APEC fixent le ton pour les actifs asiatiques et les matières premières. Le maintien d'un PMI faible indiquerait la nécessité de mesures de soutien et pourrait peser sur les prix des métaux et du pétrole, tandis que des réussites diplomatiques lors de l'APEC pourraient améliorer le moral des investisseurs. Ceux qui investissent sur les marchés asiatiques ou au sein d'entreprises de matières premières devraient considérer ces facteurs dans leur prise de décisions.
  3. Secteur énergétique en vue : les rapports d'ExxonMobil et d'Chevron clarifieront l'état de l'industrie pétrolière et gazière. Le plus important n'est pas tant les chiffres des bénéfices (qui sont attendus en baisse par rapport à l'année dernière), mais les commentaires sur les flux de trésorerie, les dividendes et les investissements. La réaction des actions des pétroliers enverra un signal à l'ensemble du secteur énergétique, y compris pour les obligations à haut rendement et les devises des matières premières (telles que le dollar canadien ou le rouble russe).
  4. Surprises d'entreprise : un large éventail d'entreprises aux États-Unis et dans d'autres régions (de la pharmacie à l'industrie) publient des résultats, susceptibles d'entraîner des mouvements de certaines actions et secteurs. Les investisseurs doivent surveiller si ces entreprises ont dépassé les attentes ou dégradé leurs prévisions – cela aidera à ajuster opportunément la composition du portefeuille, en augmentant la part des secteurs prometteurs ou en réduisant l'exposition aux secteurs problématiques.
  5. Gestion des risques en cette journée de volatilité : le dernier jour du mois est marqué par plusieurs événements significatifs, ce qui pourrait entraîner des fluctuations de prix accrues. Il est recommandé de définir à l'avance les niveaux clés pour les positions, d'utiliser des ordres stop et des ordres limités. Une attention particulière aux corrélations (par exemple, entre les rendements obligataires et le secteur technologique, ou entre les prix du pétrole et les devises) permettra de réagir rapidement aux nouvelles qui sortent et de protéger le capital contre une volatilité imprévue.
0
0
Ajouter un commentaire:
Message
Drag files here
No entries have been found.